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Présentation à Marseille des membres du bureau de l'Association européenne des supporters du WAC 

  

Une réunion consacrée à la présentation des objectifs et des membres du bureau de l'Association européenne des supporters du Wydad Athletic Club (WAC) omnisports de Casablanca s'est tenue, jeudi soir, à la Maison du Maroc à Marseille (Sud de la France).

Dans une déclaration à MAP-Paris, Paul Blesa, président de l'Association, dont le siège se trouve à Marseille, a signalé que ce nouveau-né se propose notamment de promouvoir les relations de coopération entre les clubs européens et le WAC, en particulier, et les autres équipes du Royaume de manière générale

 L'Association s'attache également à faire connaître et à promouvoir par la fibre sportive un rayonnement de la culture marocaine et un rapprochement des communautés pluriculturelles des deux rives de la Méditerranée, a-t-il ajouté.
Parmi les membres du Bureau, figurent notamment Gilles Dahan, Mohamed Rabah, Victor Abbou et Ahmed Kotbi.

Cette réunion s'est déroulée en présence, notamment, de Mme Myriam Salaheddine, adjointe à la mairie de Marseille et représentante de Jean-Claude Gaudin, sénateur-maire de la ville, Jean Roatta, député des Bouches-du-Rhône et président du Groupe d'amitié France-Maroc à l'Assemblée nationale, Isidore Arragones, président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), Christophe Masse, député des Bouches-du-Rhône, Auguste Trupheme, président du Conseil général des Hautes-Alpes, et Alain Porcu, président de la Ligue Méditerranée de football.

Y étaient également présents, Cedric Dufoix, directeur des relations extérieures et du développement de l'Olympique de Marseille (OM), Roland Gransart, directeur du Centre de formation de l'OM, Mohamed Moussaoui, vice-président du Conseil régional du culte musulman (CRCM), Othmane Aziz, président de la Maison du Maroc à Marseille, et Youssef Ameur, éducateur de football à l'US Endoume.

Source : MAP/LeMatin

 
 
Le Maroc passera à partir du 24 mars à deux zones de numérotation au lieu de quatre     07.3.2006
Le plan national de numérotation du réseau de téléphonie fixe connaîtra à partir du 24 mars prochain un changement, pour ne compter que deux zones, nord et sud, joignables respectivement par les indicatifs 03 et 02, a annoncé l'Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT).

"Le vendredi 24 mars 2006 à partir de 23H00, le nombre de zones de numérotation pour la téléphonie fixe sera réduit à deux zones au lieu de quatre", a précisé l'ANRT dans un communiqué.

La zone "sud", qui comprendra les régions régies actuellement par les indicatifs 02 et 04, sera désormais joignable par le seul indicatif 02.

La zone "Nord", comprendra les régions régies actuellement par les indicatifs 03 et 05, sera désormais joignable par le seul indicatif 03.

L'agence précise que la numérotation de la téléphonie mobile n'est pas concernée par ce changement.

Source : Map

 

M. Oualalou : Le rôle des transferts des MRE est primordial                                              01.03.2006

Le ministre des Finances et de la Privatisation, M. Fathallah Oualalou a souligné mercredi à Paris que les transferts des Marocains résidant à l'étranger (MRE) jouent un rôle important dans le renforcement de la position du Maroc à l'extérieur, précisant que ces transferts ont permis de couvrir les deux-tiers du déficit commercial du pays au cours de la période 2001-2005.

  

Intervenant lors d'un atelier sur "les transferts des migrants" organisé dans le cadre de la Conférence de Paris sur les financements innovants du développement (28 février-1-er mars), M. Oualalou a indiqué que le maintien des transferts des MRE à des niveaux élevés, reflète la confiance accrue dans l'économie marocaine et l'amélioration de l'attractivité du Maroc, notamment en matière de consolidation de la stabilité macroéconomique et d'accélération des réformes structurelles.

"Les transferts des MRE sont pour une part significative un vecteur de la solidarité familiale", a-t-il fait remarquer, ajoutant qu'ils contribuent à améliorer les conditions de vie des populations des régions les plus pauvres et à limiter l'exode rural et l'immigration de manière générale.

Pour M. Oualalou, ces transferts qui se sont chiffrés à 4,2 milliards de dollars en 2004, participent dans une large mesure à la dynamique économique du pays et jouent un rôle décisif dans la consolidation des agrégats macroéconomiques.

Rappelant les principaux motifs qui poussent les immigrés de par le monde à transférer leurs économies vers leurs pays d'origine et qui sont essentiellement la solidarité familiale, l'épargne et l'investissement, M. Oualalou a précisé que les 2,3 millions de MRE qui se rendent chaque année dans le Royaume, participent activement à la promotion du secteur du tourisme national grâce à la part non négligeable qu'ils accordent aux dépenses de voyage.

Il a signalé que les MRE contribuent également à l'essor du secteur de l'immobilier, accordent de plus en plus d'intérêt aux opérations boursières et participent, de par leur épargne, à augmenter la liquidité de l'économie et à renforcer les ressources du système bancaire qui servent au financement de l'économie nationale.

Les dépôts des MRE, a fait savoir le ministre, représentent environ 25 pc des dépôts auprès des banques commerciales et sont répartis à parts quasiment égales entre les dépôts à vue et les dépôts à terme.

Après avoir relevé que les transferts des MRE représentent près de 20 pc des recettes courantes de la balance des paiements, le ministre a expliqué que ces transferts qui proviennent pour l'essentiel des pays de l'UE, contribuent à financer les besoins en biens d'équipement et des matières premières nécessaires pour la dynamique de l'activité économique.

"Ainsi, ces transferts permettent de couvrir 25 pc de nos importations globales et plus de 40 pc des importations en provenance des pays de l'UE", a-t-il précisé.

M. Oualalou a souligné par ailleurs que l'approfondissement des réformes dans le secteur financier devrait permettre une meilleure canalisation des transferts des MRE et une allocation plus efficiente à travers un système financier moderne, sain et solide.

Le renforcement de la supervision, du contrôle du marché financier et de la transparence et la mise en conformité des règles prudentielles avec les standards internationaux, sont les principales mesures pour atteindre cet objectif, a noté le ministre.

Et d'observer que les envois pécuniaires des MRE ne constituent que la facette visible de leurs transferts. "La partie la moins visible est les transferts sociaux et les flux d'idées ainsi que les transferts de connaissances qui ont un impact non moins négligeable en termes de facilitation du dialogue entre les civilisations et de rapprochement des peuples", a dit le ministre.

Il a également mis l'accent pour les pays en développement destinataires des transferts de mettre en oeuvre des politiques appropriées permettant le maintien et le renforcement de ces transferts, d'une part, et la transformation de ces ressources financières en investissements productifs au service de la croissance, de la création d'emplois et de la réduction de la pauvreté.

Pour M. Oualalou, ces politiques englobent notamment la modernisation du secteur financier et du système des paiements, l'amélioration du climat de l'investissement et le renforcement de l'Etat de droit notamment en matière du droit des affaires.

Cet atelier, dont les travaux ont été modérés par M. Miguel Angel Moratinos, ministre espagnol des Affaires étrangères, s'est déroulé avec la participation de Mme Brigitte Girardin, ministre française déléguée à la Coopération, au Développement et à la Francophonie et M. Francisco Carrion Mena, ministre équatorien des Relations extérieures.

Source : MAP

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La participation des MRE aux élections fera l'objet de discussions avec leurs représentants                                                                                                                                            24.2.2006

La participation des MRE aux élections fera l'objet de discussions avec leurs représentants 

  

Le ministre, qui s'exprimait lors d'un point de presse à l'issue du conseil de gouvernement, a rappelé à cet égard le contenu du discours adressé par SM le Roi Mohammed VI à la Nation, à l'occasion du 30ème anniversaire de la Marche verte, relatif à l'octroi aux MRE du droit de vote et d'éligibilité lors des prochaines élections législatives.

Le gouvernement n'a pas encore entamé la discussion des questions ayant trait à l'organisation des élections législatives, mais s'est engagé à boucler, avant la fin de l'année en cours, les discussions concernant nombre de questions fondamentales, en particulier le code électoral, les listes électorales et le mode de scrutin, a ajouté M. Benabdallah.

Ces questions feront l'objet de consultations intenses avec les différentes instances politiques afin de parvenir à un large consensus sur ces sujets, a-t-il dit.

 Source : MAP

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Les MRE ont leur alliance mondiale                                                                              1.4.2005

Retenez bien ce nom: Amomé. Dans quelques années, il pourrait se référer à une force politique ou à un lobby puissant, celui de nos MRE. D’ici là, le chemin à parcourir reste long. Anomé c’est l’acronyme de l’Alliance mondiale des Marocains de l'étranger.

Cette alliance, dont on ne connaît pas le poids pour l’heure, a tenu sa première assemblée générale à Rabat mardi dernier. Au total, un collectif de 324 associations d'Europe et d'Afrique y est représenté.

Les membres de l'alliance ont été "profondément déçus des différentes tentatives d'institutionnaliser des relations entre le Maroc et sa communauté résidant l'étranger". Selon eux, ceci est dû à la désorganisation et le manque de stratégie efficace concernant cette communauté. En conséquence, l'énorme potentiel et les atouts dont ils disposent sont gâchés.

Abdelaziz Sarat président de la ligue des associations marocaines démocratiques de Belgique constate le manque des relations entre la communauté marocaine à l'étranger et les institutions, notamment le Parlement. Celle-ci ne peut pas voter et elle n'est pas représentée au Parlement. Pour lui, s'il y a une révision de la constitution, elle devra arrêter les droits et devoirs des Marocains de l'étranger.

Lors de cette rencontre, les membres fondateurs de l'Amomé ont présenté plusieurs objectifs dont la promotion de l'image du Maroc dans les pays d'accueil. Ils visent également à créer un partenariat entre l'UE et le Maroc. L'Alliance a également pour ambition de faire participer les Marocains de l'étranger à la vie politique marocaine. L'une des principales activités de l'Amomé est de soutenir la société civile marocaine dans tous les secteurs notamment le développement.

Source : L'économiste
 

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