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A C C U E I L

Nous estimons que tous les individus méritent d'être bien conseillés et bien informés, C'est dans ce but que le site maroc-associations.com a été crée. Notre ambition est de vous apporter de bons conseils et de bonnes informations

Nous Les MREs vivant à l'étranger , nous sommes fières d'être des Marocains.

 

Les Marocains du Monde  

Club des investisseurs des Marocains Résidant à l’Étranger (CIMRE)

 Le but de ce projet est de créer une force d'investissement qui pourra lancer des projets d'envergure au Maroc, par les MREs eux-mêmes, ou aider les porteurs de projets qu'ils n'ont pas d'apport personnel ou de garantie suffisante pour un prêt bancaire.

Vous voulez participer à cette grande aventure ? Alors rejoignez-nous : Il y a tant de choses à faire ! Si vous avez des idées de fonctionnalités, à ajouter, N'hésitez pas à nous faire part de vos suggestions,  commentaires, critiques ! Et pareil si vous voulez donner un coup de main !! ...      Pour adhérer à ce club   

Association des Jeunes Marocains de France (A.J.M.F)

L'association des Jeunes Marocains de France (AJMF) à pour but d'établir un lien entre la jeunesse Franco-marocaine au niveau culturel, social, relationnel, et Fraternité, sous le slogan : "Notre Avenir, entre nos mains"   > Formulaire d'adhésion <

A C T U A L I T E S

Solidarité
Abderrahim Boualam et Abdelkrim El Mouhafidi Otages marocains en Irak depuis le 20 octobre 2005

Partenaires

MSB CONSULTING  cabinet d'audit et d'expertise comptable de droit Marocain

 

 

 

 DOSSIER

Les Banques Marocaines : Nous les M.R.E , On veut  de la Transparence
La concurrence est de plus en plus acharnée entre les banques  marocaines pour séduire la clientèle M.R.E. Le groupe Banques Populaires entrain de perdre la bataille et le monopole face à AttijariWafabank, ce dernier à séduit les ex-clients de la banque Chaâbi par un discours de la transparence dans la gestion sur les comptes courants, mais aussi par une facilité dans les démarches pour un crédit immobilier ou pour un projet, mais selon la clientèle des deux banques, à l'instar des banques Française ou Européenne les deux  banques Marocaines  ne joue pas suffisamment le jeu de la transparence vers leurs clients. ce qui regrettable que le gouvernement marocain n'exige pas des Banques marocaines la transparence dans la gestion des comptes bancaires !
Bientôt  sur ce site : Tableau comparatif des principaux opérations bancaire auprès des banques Marocaines
Bientôt sur ce site : Tableau comparatif des principaux opérations bancaire  auprès des banques Françaises

L’Appel de Strasbourg 5 Mai 2007Collectif des marocains d’Europe

Nous, les signataires de cet appel, réunis au sein de la Coordination du Collectif  des Marocains d’Europe, considérons qu’il est de notre devoir, en tant qu’acteurs associatifs issus de l’immigration marocaine, d’apporter notre contribution au débat et à la réflexion engagés au sujet de la mise en place future, du Conseil Supérieur de la Communauté Marocaine à l’Etranger. (lire la suite)

A C T U A L I T E S

Quel avenir politique pour les  M.R.E au Maroc ?
 

Aujourd'hui, les Marocains résidant à l'étranger sont assez présents dans les instances politiques et administratives de leurs pays d'accueil. En effet, 14 Marocains sont élus dans les communes et régions de Belgique en plus d'un ministre à la femme et au social et 160 élus dans les communes de France. Mieux, deux Marocains siègent au Parlement européen et dernièrement, après les élections de mai 2005 en Grande-Bretagne, un Marocain a été élu au Parlement britannique. Il est donc insensé que les MRE ne soient pas représentés dans les instances politiques de leur propre pays. Ils ont finalement raison de contester la logique purement pécuniaire avec laquelle ils sont considérés au Maroc. Certes, les Marocains d'ailleurs sont de plus en plus présents dans le discours officiel, mais ils attendent toujours des actions concrètes. A ce propos, les responsables des associations de MRE, appellent à une nouvelle approche basée sur la sociologie politique.

MRE : le lobbying pour la participation aux élections reprend
 

MRE: Lobbying pour une participation politique
A l'approche des échéances électorales de 2007, le débat sur la participation politique des Marocains résidant à l'étranger (MRE) refait surface. Après le grand acquis de la nationalité, qui désormais peut être transmise par la femme marocaine mariée à un étranger à ses enfants, les MRE aspirent aujourd'hui à être présents sur l'échiquier politique. Ils comptent beaucoup sur une nouvelle volonté royale. Ce qui en dit long sur la complexité des autres voies de négociations, notamment avec les partis politiques.

Les 2,5 millions de MRE, ces grands pourvoyeurs de devises qui participent à l'économie marocaine, n'en demandent pas moins pour la politique. A moins de deux mois du grand débat sur la question qui sera tenu au Parlement en octobre prochain, le Congrès mondial des citoyens d'origine marocaine (Congress), qui est une ONG de droit belge créée en 2001, apporte les dernières retouches à sa copie. Les tournées et contacts, qu'il effectue actuellement au Maroc, coïncident avec la journée nationale du migrant célébrée hier mercredi 10 août.

L'objectif du Congress est d'arriver à un consensus sur la manière dont les MRE devront prendre part à la vie politique marocaine. Difficile, dans la mesure où la plupart des partis politiques n'ont pas de propositions claires sur le sujetA part le parti de l'Istiqlal qui a une commission dédiée à cet effet et le PJD qui effectue des tournées en Europe pour recruter de nouveaux adhérents MRE, le reste des compositions politiques met la question à l'arrière-plan. C'est pour cette raison que le Congress se focalise d'abord sur la mise en place de ce qu'il appelle le Conseil supérieur de l'émigration (CSE). “Une structure où des représentants des communautés marocaines à l'étranger, des partis politiques marocains, des syndicats, du gouvernement et de la société civile devront siéger”, indique Saïd Charchira, président du Congress. Préambule à une réelle représentativité politique, cette institution devrait jouer le rôle d'un espace de dialogue entre les deux rives. Surtout en cette période de recrudescence des actes de terrorisme impliquant des suspects d'origine marocaine. Le Congress, comme d'autres ONG de MRE, compte beaucoup sur cette instance qui devra, selon Charchira, combler des lacunes quant à la place de l'Islam dans les sociétés d'accueil. Le projet a déjà été présenté en août 2004 à Nouzha Chekrouni, ministre déléguée auprès du ministre des Affaires Etrangère et de la Coopération, chargée des Marocains résidant à l'étranger. Aujourd'hui, les responsables de cette ONG multiplient les contacts avec les chefs de partis et de syndicats.

Selon Mohamed Mraizika, responsable au Congress et président du Conseil régional (île-de-France) des associations de parents d'élèves marocains, “la priorité aujourd'hui en France et en Europe en général est l'éducation”. Cette nouvelle approche ambitionne de donner une nouvelle image sur la communauté musulmane marocaine par le biais d'un meilleur enseignement des principes de tolérance et de cohabitation de l'Islam. Ce n'est que de cette manière que les Marocains peuvent être une force de proposition dans le grand débat sur “l'Islam de France ou l'Islam en France”. L'Hexagone s'est déjà fixée sur une stratégie qui justement privilégie l'éducation en prévoyant des facultés qui enseigneront les préceptes de la religion musulmane. Une mesure parmi d'autres, qui devront répondre aux besoins pressants en imams qualifiés qui maîtrisent leur sujet. En effet, un grand nombre de prédicateurs en Europe s'expriment volontiers sur les problèmes quotidiens de la communauté sans référence valable aux vrais principes de l'Islam. Ce qui crée une mauvaise compréhension, surtout chez la troisième génération qui souffre du grand handicap de la langue arabe, mais aussi du peu d'espace d'expression qu'on lui offre au bled.

Logique pécuniaire

Le bilan que la communauté marocaine à l'étranger fait de l'action du ministère chargé des MRE est faible. Certes, les Marocains d'ailleurs sont de plus en plus présents dans les discours, mais ils attendent toujours des actions concrètes. Les responsables des associations de MRE, dont le Congress, revendiquent une approche basée sur la sociologie politique. Celle-ci est, à leurs yeux, seule en mesure de retracer l'histoire politique des communautés marocaines à l'étranger. Aujourd'hui 14 Marocains sont élus dans les communes et régions de Belgique en plus d'un ministre à la Femme et au Social, 160 élus dans les communes de France, 2 Marocains sont dans le Parlement européen et dernièrement, après les élections de mai dernier en Grande-Bretagne, un Marocain a été élu au Parlement britannique. Il est donc aberrant que les MRE ne soient pas représentés dans les instances politiques de leur propre pays. Finalement, ils ont raison de contester la logique purement pécuniaire avec laquelle ils sont considérés au Maroc.

L'Economiste
 

La Communauté marocaine à l'étranger et le problème de la députation

 

Seuls quelques audacieux, ici et là en Europe, arrivent encore à briser le silence qui entoure la problématique de la représentation parlementaire pour les membres de la communauté marocaine vivant à l'étranger. Concernant ce sujet précis, la position du gouvernement marocain se situe entre le dilemme et la dichotomie. Il ne peut continuellement ignorer les forces vives qui émergent de cette communauté, ni s'aventurer à leur permettre une participation active dans la vie politique du pays.

Il garde les représentants de cette communauté suffisamment à l'écart des affaires politiques internes et il les approche tant que cela est nécessaire pour maintenir un semblant de dialogue démocratique. A dessein, cette revendication fondamentale est diluée dans d'interminables rencontres, colloques à thème et autres congrès estivaux sans jamais parvenir à l'établissement d'un échéancier qui mènerait à compléter les dispositions organisationnelles qui s'imposent en vue de l'application des textes constitutionnels.

En scrutant le discours officiel, on s'aperçoit que rien n'est prévu pour mettre en œuvre un processus qui déterminerait les contours d'une représentation de la communauté marocaine vivant à l'étranger au niveau de la députation. L'échec d'une première expérience ne peut à lui seul expliquer l'appréhension qui se manifeste chaque fois que le sujet est évoqué par les représentants de cette communauté de plus en plus incontournable pour l'économie du pays. De loin, cette communauté représente la première source d'entrée de devises étrangères pour le pays comme elle constitue un tremplin naturel pour consolider ses rapports et intensifier ses échanges dans tous les domaines avec les pays qui les accueillent.

La question qui interpelle sérieusement le gouvernement marocain est : comment respecter les règles de base de la démocratie quand seuls les représentants des entités autoproclamées peuvent logiquement prétendre actuellement exercer ce droit que la Constitution accorde à tous les citoyens marocains ?
La quasi-absence des influences partisanes dans les milieux de la communauté marocaine exclut les partis nationaux de ce débat. Par réalisme, les partis politiques s'auto-excluent, sachant bien que leur aura vient à peine d'atteindre la campagne marocaine et que le dossier de la communauté marocaine à l'étranger n'est considéré que dans son volet diplomatique et qui est du ressort exclusif du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération.

La communauté marocaine à l'étranger, excepté une partie de l'élite, est officiellement défini comme apolitique et sa part de contribution dans l'économie du pays est mise en exergue en concomitance avec les difficultés budgétaires récurrentes de l'État à côté des revenus de la privatisation.

Tout ce dont jouissent actuellement ces marocains de l'étranger, tant au niveau de l'accueil dans leur pays d'origine qu'au niveau des services administratifs, n'avait été le résultat d'un dialogue constructif ou le fruit d'une lutte politique mais rien de plus que l'exécution des Hautes instructions Royales qui viennent à chaque fois au secours du dixième de la population sans représentants institutionnels.

Le cas échéant, qui est habilité à dialoguer, voire négocier les étapes à suivre pour un dénouement démocratiquement correct ? Quels sont les jalons qui devraient baliser un éventuel processus qui tarde à se mettre en place?
Le débat déjà entamé sur ce sujet avec quelques représentants de la société civile à l'étranger, ponctué par des à-coups dictés surtout par les échéances électorales, s'éternise devant d'infranchissables obstacles dus essentiellement à la nature même de la légitimité des interlocuteurs et dans un degré subséquent au manque d'une réelle volonté politique.

La légitimité d'une grande partie de ceux que le gouvernement marocain considère en tant qu'interlocuteurs crédibles et dignes de participer à ce genre de dialogue constitutionnel est parfois contestée au sein même des groupes sociaux qui prétendent représenter. Quant aux règles établies pour ce débat, le gouvernement semble pour le moment confiant d'en maîtriser seul l'agenda virtuel.

Même si l'action diplomatique se caractérise par la rigidité de ses règles, les exigences politiques avaient, dans le passé, amené le Maroc à intervenir activement dans l'organisation de la communauté marocaine à l'étranger.
Cela fut un véritable échec. Aujourd'hui, le gouvernement affiche un désistement marsupial d'intervenir dans les affaires internes de la communauté installée à l'étranger.

Il est vrai que le Parlement assure convenablement sa mission d'un point de vue politique.

Cependant, si on réalise qu'environ deux fois le nombre des habitants de la capitale du Royaume ne sont pas représentés au sein de ce Parlement, on ne peut ne pas se poser la question sur les raisons qui empêchent d'organiser le fonctionnement du Parlement en respectant les textes de la Constitution.

Pour poser inversement la question précédente, les Marocains de l'étranger seraient-ils assez mûrs pour assurer l'exercice de ce droit et prouver que les préjugés qui collent à cette communauté installée à l'étranger ne sont plus de mise dans le combat politique mené actuellement ?
À l'abri de toute pression politique concernant ce sujet, le gouvernement reste fidèle à son conformisme inébranlable et face à ses interlocuteurs, choisis ou autoproclamés, il ne semble pas outre mesure décidé à dépasser le stade du statu quo tout en promettant l'élaboration d'une nouvelle conception qui pourrait concilier la démocratie représentative et la désignation des représentants ou une autre forme plus originale encore à trouver.

Reste à savoir si, de leur côté, les fervents défenseurs des droits légitimes de cette communauté détestée d'abord, puis chérie ensuite et toujours politiquement écartée, vont se contenter durablement de ce qui n'est autre que le statu quo avec, dans les meilleurs des cas, des améliorations statutaires qui n'atteindront jamais le plein exercice d'un droit constitutionnel.

Jamal Hadhad Abdennaceur
Enseignant à Rotterdam
 

 

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